Promotions chez Somfy

 

Angélique Longeray, Directrice de SOMFY France depuis 4 ans , est nommée Directrice de SOMFY France et SOMFY Europe Centrale, regroupant 3 pays,  l’Allemagne, l’Autriche et la Suisse. Ces filiales, fortement  exportatrices, partagent les mêmes défis liés à l’efficacité énergétique dans les bâtiments. Angélique Longeray est remplacée au poste de Directeur de SOMFY France par Bruno Capdordy, qui a rejoint le Groupe début janvier 2025 et qui lui est rattaché.

Miroiterie : Flabeg France qui avait changé de propriétaire en 2007 placé en liquidation judiciaire

 

 

 

Flabeg France, installé à Sarrewerden, dans le Bas-Rhin, était l'un des derniers sites en Europe de production de miroirs de rétroviseurs et de pare-soleil pour l’industrie automobile. L'entreprise a été placée en liquidation judiciaire par la chambre commerciale du tribunal de Saverne. La maison mère, allemande, avait annoncé à la mi-janvier le dépôt de bilan de cette filiale.

Miroiterie   région   Parisienne   en   vente

 

A vendre pour raison de départ en retraite 100% des titres d’une SAS MIROITERIE VITRERIE existante depuis 1979 en IDF. Locaux surface totale 1547m² avec pont roulant, boutique, bureaux et ateliers. Equipe constituée de 2 cédants et 5 salariés. Clientèle 60% de particuliers.

CA  1,1M€

loyer annuel 144 000€ avec bail neuf à la reprise si location. Possibilité d’acquérir les murs

 

Pour plus d'informations contacter glass@comascotec.com ou le 06 64 73 63 77 Merci

Cevino achète BMV

 

Le groupe nordiste de produits verriers Cevino Glass avance en région Auvergne-Rhône-Alpes. Il vient de racheter BMV, une entreprise de Feyzin (Rhône) spécialisée dans la trempe du verre plat. Cette activité représente 4 millions d'euros de CA avec plus de 20 salariés.

« Cette acquisition présente un caractère stratégique », témoigne Thierry Gautier, président fondateur du groupe Cevino (Dubrulle...) « BMV permet à Cevino Glass de renforcer sa présence en Auvergne-Rhône-Alpes et d'y jouer des synergies avec Lukora, une entreprise de Tarare, dans le Rhône, acquise en 2020. » Cette dernière, réalise un chiffre d'affaires de 9 millions d'euros avec 50 salariés.

 

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Heat soak test

 

Un verre trempé dans les meilleures conditions peut se briser spontanément, bien après être sorti du four de trempe (sous un délai de quelques jours à quelques années sans qu'il ait été l'objet d'aucune contrainte mécanique extérieure (chocs, contrainte thermique...)). Cette casse, très pénalisante, tant au point de vue de la sécurité que de celui du coût  de remplacement (en particulier dans le cas des verres utilisés en façades, murs rideaux) est principalement due à la présence d'inclusions d'impuretés existant à l'intérieur du verre. L'une des impuretés le plus souvent responsable de cette casse est celle de Sulfite de Nickel, NiS.

 

Lors de la trempe du verre, entre 610 et 660°Celsius le sulfite de Nickel possède une structure cristalline qui n'est pas stable à la température ambiante. C'est le passage de cette structure cristalline non stable à une autre stable à la température ambiante (ce qui peut se produire des années après la trempe) qui va provoquer des tensions dans le verre et sa casse.

 

Verre brisé après Heatsoak test

 

Afin de détecter après la trempe les verres pouvant faire l'objet d'une casse spontanée avant qu'ils ne soient utilisés, un test a été imaginé, le Heat soak test. Il consiste en un traitement thermique additionnel (destructif dans le cas des verres défectueux) dans un équipement spécifique (four pour heat soak test).

Four Heat soak test société Keraglass

 

Dans ce type de four, les verres, après avoir été trempés sont soumis à un cycle de chauffe les amenant à environ 290°C, puis  laissés refroidir lentement. Ce cycle est destiné à accélérer le changement de structure cristalline des inclusions d'impuretés de Sulfite de Nickel et à donc provoquer la casse spontanée des verres à risques.

Sans qu'il représente une garantie totale d'absence de casses spontanées ultérieures, ce test représente une sécurité supplémentaire dans certains cas où le remplacement des verres trempés pourrait être particulièrement compliqué et onéreux et où la casse pourrait constituer un risque de blessures graves pour les individus.

Ce test est de plus en plus souvent demandé par les grands donneurs d'ordres.

Le coût de ce test renchérit d'environ 25% le prix d'un verre trempé.