Miroiterie : Flabeg France qui avait changé de propriétaire en 2007 placé en liquidation judiciaire

 

 

 

Flabeg France, installé à Sarrewerden, dans le Bas-Rhin, était l'un des derniers sites en Europe de production de miroirs de rétroviseurs et de pare-soleil pour l’industrie automobile. L'entreprise a été placée en liquidation judiciaire par la chambre commerciale du tribunal de Saverne. La maison mère, allemande, avait annoncé à la mi-janvier le dépôt de bilan de cette filiale.

Miroiterie   région   Parisienne   en   vente

 

A vendre pour raison de départ en retraite 100% des titres d’une SAS MIROITERIE VITRERIE existante depuis 1979 en IDF. Locaux surface totale 1547m² avec pont roulant, boutique, bureaux et ateliers. Equipe constituée de 2 cédants et 5 salariés. Clientèle 60% de particuliers.

CA  1,1M€

loyer annuel 144 000€ avec bail neuf à la reprise si location. Possibilité d’acquérir les murs

 

Pour plus d'informations contacter glass@comascotec.com ou le 06 64 73 63 77 Merci

Cevino achète BMV

 

Le groupe nordiste de produits verriers Cevino Glass avance en région Auvergne-Rhône-Alpes. Il vient de racheter BMV, une entreprise de Feyzin (Rhône) spécialisée dans la trempe du verre plat. Cette activité représente 4 millions d'euros de CA avec plus de 20 salariés.

« Cette acquisition présente un caractère stratégique », témoigne Thierry Gautier, président fondateur du groupe Cevino (Dubrulle...) « BMV permet à Cevino Glass de renforcer sa présence en Auvergne-Rhône-Alpes et d'y jouer des synergies avec Lukora, une entreprise de Tarare, dans le Rhône, acquise en 2020. » Cette dernière, réalise un chiffre d'affaires de 9 millions d'euros avec 50 salariés.

 

La miroiterie Targe, championne d’Europe de miroiterie avec Laure Vereecken

 

Travaillant à la Miroiterie Targe, à Lyon, Laura Vereecken est de plus la toute première championne d'Europe de miroiterie. Un titre, obtenu en 2021, qu'elle doit… un peu au hasard.

Dans une profession qui reste encore très masculine, Laura Vereecken est une pionnière. Elle est, et restera, la première à avoir inscrit son nom au palmarès des Euroskills en catégorie miroiterie"Avant 2021, année où j'ai gagné, l'épreuve n'existait pas", indique la jeune miroitière qui, a 26 ans, est salariée de la Miroiterie Targe, à Lyon, depuis deux ans.

Un succès que la Nordiste d’origine doit presque au hasard. "Tout a commencé lors d'une journée portes ouvertes dans un lycée pro de Tourcoing. Je voulais me renseigner sur la sérigraphie ou l'ébénisterie mais je me suis perdu et suis tombée devant le stand de miroiterie." Une révélation.

Pour Laura Verrecken, la divine surprise des Euroskills miroiterie

Un CAP en poche, elle s'inscrit finalement en brevet des métiers d'art et découvre les Worldskills. "C'est un formateur, expert national, qui m'a poussé à m'inscrire." Gagnante de l'épreuve régionale, elle termine ensuite troisième des finales nationales, en 2018, à Caen. "Et là, j'ai eu un coup de chance, puisque les deux candidats qui m'avaient précédé ont déclaré forfait pour les championnats d'Europe."

 

Et une autre médaille d’Or pour la miroiterie Targe

 

le Graal pour Lilian Vallet

Le jeune apprenti, en alternance au sein de la Miroiterie Targe, a remporté la seule médaille d’or régionale pour la filière bâtiment et travaux publics.

Une image parle souvent plus fort que les mots. Pour s’en convaincre, il suffit de jeter un coup d’œil à la cérémonie de clôture des Worldskills et à la joie qui a envahi Lilian Vallet à l’annonce des résultats de l’épreuve de miroiterie. Médaillé d’or, le représentant de la région Auvergne-Rhône-Alpes a eu du mal à cacher son émotion. Dans sa tête défilait sûrement tout le travail parcouru pour arriver à ce fantastique résultat…

Pour lui, tout a démarré à l’âge de 15 ans. "J’ai commencé par un CAP en menuiserie aluminium et verre, au CFA de Dardilly, explique le jeune de 19 ans, originaire de Chalon-sur-Saône. Et j’ai poursuivi par deux ans de BP avant de débuter un bac pro au lycée professionnel Gustave-Eiffel, en alternance au sein de l’entreprise Miroiterie Targe." Un choix de carrière que le tout récent médaillé d’or ne regrette pas. "J’ai découvert le métier de miroitier lors de ma formation au CFA. Ça m’a tout de suite beaucoup plu. Surtout qu’en choisissant cette voie, j’avais la possibilité de participer aux Worldskills."

Ce concours, il l’a pourtant commencé sans vraiment trop y croire. "C’est Laurent Gressard, formateur à Dardilly, qui m’en avait parlé. Mais je me suis lancé un peu comme ça, sans grand esprit de compétition." Rapidement, Lilian Vallet s’est tout de même pris au jeu jusqu’à se préparer pendant des semaines pour la phase deux des finales. "Je savais que pour réussir, il allait falloir être très bon." Et il le serait jusqu’au bout

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Bilatérales ou ligne de bilatérales à meules périphériques:

Il s'agit de machines utilisant des meules périphériques. Même si en théorie on peut réaliser toutes les formes de joint elles sont le plus souvent utilisée pour réaliser un joint appelé « pencil edge ». Il s’agit d’un joint arrondi.

Ce type de machine est le plus souvent utilisé dans le domaine des grandes séries où les paramètres principaux sont des épaisseurs de verre de 3, 4, 5 et 6 mm, où la vitesse prime et la qualité de polissage pas essentielle. Elles peuvent travailler avec ou sans meules de polissage.

Elles sont aussi le plus souvent utilisées pour des verres de petites dimensions.

On trouve des machines allant de 3 à 6 meules, la machine la plus fréquemment rencontrée étant une quatre meules.

-Bilatérales à 3 meules :

Généralement 3 meules diamantées

-Bilatérales à 4 meules

Deux meules diamantées et deux meules de polissage

-Bilatérales à 6 meules

Trois meules diamantées et 3 meules de polissage

Dans le cas des lignes on installe un transfert entre les deux bilatérales (soit en ligne, peu fréquent, soit à 90°) et l'équerrage se fait sur la seconde bilatérale (l’équerrage est toujours fait sur la seconde bilatérale et il est fortement conseillé pour obtenir la meilleure précision possible que l’équerrage se fasse sur la plus grande dimension du verre. C’est-à-dire que la seconde bilatérale de la ligne doit être celle qui a la plus grande ouverture).

Afin de pouvoir mettre la ligne de bilatérale en ligne avec une laveuse horizontale de la plus petite largeur possible (budget plus réduit et gain de place), correspondant à la dimension maximale de la première bilatérale et n’avoir qu’un seul opérateur pour l’entrée et la sortie de la ligne on ajoute souvent un second transfert à 90° à la sortie de la seconde bilatérale.

 

Principales options :

Le nombre d’options sur les bilatérales est très important, chaque fabricant rivalisant d’ingéniosité pour se démarquer de ses concurrents. Parmi les principales on peut cependant citer :

-Possibilité de positionner plusieurs meules diamantées sur les broches pour diminuer les temps morts lors des changements d’épaisseurs de verre.

Ce type de machines travaille souvent deux ou trois épaisseurs différentes de verre seulement.

-Motorisation des broches diamantées du joint pour compensation d’usure.

Pour une ligne de bilatérale qui comporte 6 meules diamantées et qui travaille à haute vitesse (certaines machines peuvent atteindre 15 mètres/mn) en continue, le réglage des meules diamantées est très fréquent.

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Points à regarder :

Ici aussi ils sont légion, mais on peut citer :

-Facilité de changement des meules de polissage.

Pour une bilatérale travaillant à haute vitesse il n’est pas rare d’avoir un changement journalier de meules de polissage (une meule de polissage va durer en moyenne 2000 mètres linéaire, et sur une ligne il peut y avoir jusqu’à 12 meules de polissage).

-Rapidité et précision lors des changements de dimensions (ouverture ou fermeture de la bilatérale) des verres.

Surtout si on travaille des petites séries

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